1 Français sur 3 déclare mal dormir.
Le sommeil repose en partie sur une hormone essentielle : la mélatonine, naturellement sécrétée par notre cerveau en réponse à l’obscurité.
En cas de troubles de l’endormissement ou de décalage horaire, une complémentation ponctuelle en mélatonine peut être utile.
En France, les compléments alimentaires peuvent contenir jusqu’à 1,9 mg de mélatonine par jour. Au-delà de 2 mg, elle devient un médicament, qui nécessite une prescription médicale.
La prise de mélatonine peut engendrer des effets indésirables comme des : maux de tête, cauchemars, somnolence.
Sa prise ne crée pas de dépendance physique, en revanche, une dépendance psychique peut être noté.
Donc En cas de troubles du sommeil légers, on privilégie d’abord une réduction des lumières notamment avec les écrans qui empêchent la sécrétion naturelle de mélatonine.
On peut également avoir recours à la supplémentation mais elle doit rester ciblée et épisodique.