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Vous avez des crampes ? Les paupières qui dansent la lambada ?

Évidemment, vous filez à la pharmacie. Le pharmacien lève un sourcil entendu, il vous tend une boîte : « Magnésium ! »
Et vous repartez rassuré, une gélule au bout de l’angoisse.

Sauf que… ce n’est pas toujours lui, le pauvre magnésium.
Le vrai coupable, souvent, c’est son cousin discret : le phosphore.

Le phosphore ! On en trouve  partout, partout, partout dans la nourriture industrielle

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Dans le jambon sous vide qui brille rose bonbon, dans le pain de mie qui ne rassit jamais, dans le fromage qui fond trop bien pour être honnête, dans le soda qui pique la langue.
Les industriels l’adorent : il conserve, il gonfle, il lie, il rend tout plus “parfait”.

Et nous, on avale. On avale tellement qu’on en a deux,  voir trois fois plus que ce dont on a besoin. Pour une fois, on ne souffre pas d'un déficit, mais d'un excès. 


Le phosphore s’invite dans notre sang comme un convive envahissant, il perturbe le métabolisme du calcium, il secoue nos muscles, il fait claquer nos paupières, il fragilise nos os en douce.

Alors bien sûr, on accuse le stress et on se gave de magnésium.


Mais derrière, le phosphore ricane, invisible, tapotant du doigt nos artères et nos reins, préparant en douce des lendemains qui grincent.

La première question qu'il faut se poser  n’est pas : « Faut-il avaler une gélule ? »
Mais plutôt :
Comment faire pour consommer un peu moins de phosphore. 

Et si, comme souvent, la solution était d'abord dans l'analyse de l'assiette avant de se précipiter sur la boite de comprimé. 

 

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