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Quand on parle d’alimentation, on pense tout de suite aux macronutriments : glucides, protéines, lipides. Bref, les « gros morceaux » qui nous donnent apportent la matière première de l'énergie   et construisent nos cellules.

Mais il y a les autres, plus discrets, plus dissimulés : les micronutriments. Vitamines, minéraux, oligo-éléments… Ce sont les tournevis, les clés et les petites vis de notre organisme. Sans eux, même avec toutes les calories du monde, rien ne tourne rond.

Et c’est là que ça se complique : notre alimentation moderne joue parfois les illusionnistes. Elle peut donner une impression de diversité, mais insidieusement des familles entières d’aliments sont éliminées. 

Certaines exclusions sont volontaires – le régime du moment, la mode du « sans » – mais la plupart sont involontaires. En mangeant « ce qu’on aime », on oublie souvent « ce dont on a besoin ».

Résultat : les outils manquent, les rouages grincent. Fatigue, inflammations, digestion capricieuse, immunité à la baisse, prise de poids…

 Heureusement, les diététiciens maîtrisent les outils de  base nécessaires pour réaliser des analyses micronutritionnelles optimales et peuvent donc faire face à cette nouvelle donne :

  • Ils connaissent les aliments et leur densité micronutritionnelle.

     
  • Ils maîtrisent la physiologie digestive et métabolique.

     

Intégrer la micronutrition dans la pratique diététique, ce n’est plus une option ou un luxe.
C’est une nécessité professionnelle pour garantir des prises en charges solides auprès de ses patients.

 

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